Culture – Découverte – Amour – Voyage – Passion
« Stupeur et tremblements » pourrait donner l’impression qu’au Japon, à l’âge adulte, j’ai seulement été la plus désastreuse des employés. « Ni d’Ève ni d’Adam » révèlera qu’à la même époque et dans le même lieu, j’ai aussi été la fiancée d’un Tokyoïte très singulier. (A. N.)
Une initiation amoureuse et culturelle, drôle, savoureuse, insolite et instructive (si les codes de la société japonaise demeurent souvent impénétrables, l’étranger qu’est l’Occidental est aussi source de quiproquos et de malentendus…).
Il est probablement l’un des rares romans à avoir autant touché mon être en quelques pages. J’ai été captivée depuis le début de ma lecture jusqu’à la dernière lettre, tant, que je me souviens avoir lu plusieurs fois la dernière page pour en capter chaque instant. J’ai versé une larme et même une grosse. Les romans comme ceux-là on ne les oublie pas…
Je l’ai lu dans le désir de découvrir un peu plus le Japon, du moins je cherchais une histoire dont l’action se déroulerait au pays du soleil levant. C’était il y a quelques années quand je commençais réellement à m’intéresser à la culture Asiatique. J’ai été conquise.
Une histoire des plus simples, un récit de vie, qui pourtant m’a fait rêver. Plusieurs points du roman on évoquer plusieurs envies en moi, celui du voyage, celui d’apprendre de nouvelles langues, celui du lâcher prise. Faire ce qu’on veut de sa vie et toujours regarder droit devant soi. Ce n’est pas réellement le message que fait passer l’histoire mais c’est ce que j’en ai retiré.
Le seul bémol est que j’ai souhaité regarder son adaptation cinématographique, « Tokyo fiancée ». Quel désastre. J’ai été extrêmement déçue… Ce que le film renvoi n’est pas à la hauteur du roman, il peine à transmettre cette énergie vivifiante, les sentiments exprimés…
Le Maid Café
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